Mon cher journal,
j’ai passé une très bonne soirée. Si tu savais le pied que j’ai pris et ma sœur était avec nous.
J’ai séduit l’imbécile d’homme qui se croyait un male plein de prestance, tu sais comme si sa testostérone m’agressait.
Mais j’ai vaincu ma répugnance. Tu peux être fière de moi.
On est entré dans sa chambre de son appart. Il m’a accolé contre la commode.
Puis poussée sur le lit et son corps de bête de puant c’est déposé sur mon corps qu’elle horreur.
Avec mon poignard, sa crosse je l’ai assommé. Il est tombé sur moi et je me suis extirpé de sous lui. Je crois qu’il s’appelait Roger ou peut être Robert enfin quelle importance ?
Je l’ai accroché au montant du lit et bâillonné. En attendant qu’il se réveille j’ai prépare l’autel pour le sacrifice pour la faire revivre. Je n’ai pas oublié non plus de le parfumer avec le parfum de Christa.
Je l’entends gémir. Je monte sur le lit, je m’installe à califourchon sur lui. Je viens m’empaler sur lui, c’est a mon tour de gémir, mais pour prendre mon pied ce n’est pas tout…je me penche sur son torse laissant ma poitrine le toucher.
D’un coup je tranche ses veines…puis je suis le sang et continue à ouvrir ses bras…le sang coule, dévale ses bras et vient s’étaler sur son torse et vient maculer mes seins qui se teinte de ce rouge si noble.
Je viens boire un peu de ce nectar…Je ne peux m’empêcher de lécher mes lèvres en le regardant…et je viens l’embrasser sauvage lui mordant la lèvre inférieur.
Je n’oublie pas ma mission, je viens me placer entre ses jambes et lui offre un magnifique sourire.
Je crois qu’il n’a compris ce qu’il lui arrivait que lorsque j’ai approché le couteau de sa virilité.
J’ai tranché ce qu’il le rendait si fière, ce qu’il lui permettait de se croire supérieur…
Et puis je l’ai mis à bruler sur l’autel et à ce moment là j’ai sentis la communion avec ma sœur…c’était si puissant…j’ai ressentit sa jouissance a elle.
Et je termine par un orgasme à mon tour, en lui taillant un deuxième sourire et en aspirant son dernier souffle de vie.
Je n’oublie pas de trancher sa lèvre pour un souvenir et surtout pour qu’on ne puisse pas de retrouver.
Je replie tout mon matériel, et je disparais dans la nuit.
Je crois que je vais aller me reposer.
A demain mon cher journal.