Entrée et hall de l'hôpital

http://radioblogclub.com/open/115086/no_more_sorrow/08-linkin_park-no_more_sorrow
Vas y arrête toi là…
Dans un crissement de pneu le véhicule s’immobilisa…

Deux portières claquèrent quasi en même temps…
Kim se sentit tiré hors de la voiture, et s’échoua contre le sol dur.
Te prends pas la tête… Ils vont y arriver comme des grands…

Un coup de pied violent le fit basculer sur le coté… Et son corps dévala une pente herbeuse pendant plusieurs secondes qui parurent une éternité… Il s’immobilisa finalement face contre une chaussée goudronnée…

Des cris lui parvinrent…
Hé venez par ici ! Appelez le docteur vite ! On a deux personnes dans un état critique !

Monsieur vous m’entendez ! Monsieur ! Si vous m’entendez faites un signe… Essayez d’ouvrir les yeux !
Il a fait un arrêt cardiaque !
Quoi ? Depuis combien de temps est-il dans le coma ?
Aucune idée…
Son nom ?
Kim ! Moi c’est Jacky… Faites vite !
Jacky ne vous inquiétez pas on s’occupe de vous… Pour l’instant on doit également soigner votre plaie…

Kim se retrouva sur un brancard…
Homme… la vingtaine… Arrêt respiratoire suivi d’un arrêt cardiaque… pouls à… 30….
On lui fait NFS chimie, iono, gaz du sang… Scan crâne également… On le ventile...O2 à 10L par minute... Perf de physio... Allez on se bouge !!!!

Il entrouvrit les yeux… Ebloui par les néons…
Kim ? Kim ? Restez parmis nous… Vous êtes à l’Heaven Hospital… On va s’occuper de vous… Mais vous devez rester éveillé… Vous m’entendez… Faites un geste si vous comprenez ce que je vous dis…

Kim hocha presque imperceptiblement la tête…
C’est bien, concentrez vous… Jamie ?
Salle 3, Doc!
Ok ! On y va !

79.

Auparavant dans une des chambres.

Elle avait retrouvé Jo et Tom un peu plus loin dans les couloirs alors qu’elle les avait complètement oublié ces deux là. Dès qu’ils l’avaient vu, ils s’étaient précipité au devant d’elle, inquiets. Mais Salsa les avait rapidement rassuré, tout allait bien pour elle, ainsi que pour Johnny Cash. Oui tout allait parfaitement bien! Elle jeta un coup d’œil amusé aux deux autres gardes, eux devraient encore attendre sur la star, comme il allait passer la nuit là.

Salsa entourée de ses deux gardes du corps se dirigeait vers la sortie de l’hôpital quand elle se souvint tout à coup de la présence des journalistes et autres fans inquiets pour les stars dont tout le monde savait à présent qu’ils étaient au mariage où avait eu lieu la terrible fusillade, grâce aux flash spéciaux diffusés en boucle sur toutes les chaînes de télévisions internationales. A peine elle franchissait les larges portes du bâtiment que les flashs crépitaient, ainsi que les exclamations, cris et appels de la foule.

- Regardez !!! C’es Salsa!
- C’est elle, la voilà !
- Salsa voulez vous bien nous dire quelques mots au sujet de cette fusillade?
- Vous n’avez pas été blessée?
- Étiez vous avec Johnny Cash?
- Est-ce qu’il a été touché? On a dit qu’il avait du être opéré!

Les questions, les flashs, tout ça s’enchaînait à une vitesse étourdissante. Jo et Tom tentaient de maintenir une distance de sécurité entre les photographes, et autres excités de la presse, mais ils avaient fort à faire. A ce moment là une question plus insidieuse que les autres, retint son attention. Salsa fronça les sourcils essayant de deviner qui l’avait posé.

- On dit que Johnny Cash a obtenu l’autorisation d’être dans la même chambre que son ex petite amie, Lana Fox, pouvez- nous le confirmer?
- Se sont-ils remis ensemble? Que pensez-vous de tout ça?

Tout à coup le silence se fit. Salsa venait de s’arrêter au milieu des journalistes et tous attendaient d’entendre ce qu’elle allait leur dire. Elle releva fièrement le menton, et parla le plus distinctement possible, adoptant un ton posé, souriant à tous ces photographes qui s’en prirent plein leurs objectifs.

- J’ai eu la chance de ne pas être touchée pendant cette fusillade, mais ce n’est pas le cas d’autres victimes. J’en profite pour transmettre toute ma sympathie à leur famille.
- En ce qui concerne Johnny Cash, je ne ferai aucune déclaration à son sujet, il le fera sûrement lui-même.
- A présent la journée a été longue, vous comprendrez que j’ai besoin de me reposer, merci.

Et telle une reine, elle franchit la foule qui à présent s’écartait pour la laisser passer, son escorte en bonne place. Jo lui ouvrit la portière de la Mercedes et Salsa se laissa glisser sur le siège avec un soupir de soulagement. Alors que la voiture s’éloignait doucement de l’hôpital, Elle regarda une dernière fois la façade du bâtiment.

* bonne nuit mon amour..*

La suite: villa de Salsa..

( Précédemment )


Johnny et Salsa avaient enfin fini par la quitter cette maudite chambre d'hopital et tous les souvenirs qu'elle portait.. La veille avait été une journée difficile pour en deux, en émotions mais surtout Johnny avait subit un calvaire.. et ce cauchemard cette nuit.. affreux.. heureusement il y avait eu cette petite douceur qui était arrivé.. Lana s'en était sorti.. et ça lui avait mit un peu de baume au coeur..

Dans le couloir, Johnny avait aussitot reconnu son chef de la sécurité qui avait une sale mine, accompagné par le chauffeur de sa berline noire qui semblait lui avoir tenu compagnie.. il y avait également les deux molosses qu'il avait vu avec Salsa la veille au mariage, certainement ses deux nouveaux agents de sécurité.. Ils se levérent tous pour venir à leur rencontre, pour venir prendre des nouvelles certainement mais aussi attendre les ordres.. Et ce fut comme toujours le chef de sécurité de Johnny, Lionel Felichi qui se démarqua des autres, prenant la parole..

"- Patron, ça fait plaisir de vous revoir.."
"- C'est un plaisir de sortir de cette cage également."
"- Nous rentrons ?"
"- Vous rentrez.. Moi je vais emménager quelques jours chez Mlle Inferno.. Occupez-vous de la sécurité et demandez à un de vos hommes de me ramener quelques affaires, vous connaissez l'adresse."
"- Bien monsieur.."
"- Appelez-moi s'il y a un probléme."

Les deux hommes échangérent un regard puis Johnny le congédia d'un simple sourire, le chauffeur de la berline le suivant au pas après avoir salué le patron.. Il ne restait que les deux gardes du corps de Salsa.. un homme plutot chétif et au regard froid et un géant qui semblait sortir tout droit d'un film, avec un sourire colgate accroché au visage, comme dans les publicités, c'était amusant.. Le plus petit prit alors la parole.

"- Il y a une foule de journalistes devant l'hopital qui attendent votre sortie, vous voulez qu'on passe par derrière ?"
"- Heu.. Oui.. enfin non.. je ne sais pas.. Johnny?"
"- Tu te rappelles ce que j't'ai dit dans la chambre.. On quittera cet endroit la tête haute et pas comme des fuyards.."

Le visage de Salsa s'illumina alors à l'entente de ces paroles.. Elle savait que c'était un effort considérable pour Johnny d'affronter la presse, il les détestait plus que tout.. Mais est-ce que ça voulait dire qu'il était prêt à afficher leur relation au grand jour et à répondre à toutes les questions qu'on lui poserait ?.. Le regard de Salsa brillait de toutes ces questions et pour seule réponse, la main de Johnny vint se saisir doucement de la sienne, leurs paumes se frolant et leurs doigts s'entrecroisant.. Il était hors de question qu'il sorte de là sans elle et encore moins par des faux semblants.. Le couple se mit alors en mârche vers la sortie suivit des deux gardes du corps qui restaient vigilents..

Et à peine eurent-ils franchis les portes de l'hopital qu'une pluie de flash les éblouït.. saloperie.. Johnny se demanda alors ce qu'il avait fait de ses lunettes mais elles étaient certainement dans le sac de Salsa avec tout ses effets personnels, le reste de ses affaires inutilisables, son débardeur et sa veste tachés de sang délaissés sur son lit dans un petit sac plastique fermé, quelqu'un mettrait peut-être la main dessus, mais il s'en contrefichait..

"- Mr Cash.. Quel effet ça vous fait d'être un héros?"
"- Est-ce que ça a été douloureux de vous faire tirer dessus?"
"- On dit que vous avez été placé dans la même chambre que Lana Fox, comment va-t-elle?"
"- Votre blessure à l'épaule va vous empêcher de reprendre le chemin des studios, qu'allez-vous faire de votre temps?"
"- Avez-vous un mot à dire à vos fans?"

Les questions fusaient tellement vite que Johnny ne les entendait pas toutes, il en dicernait seulement quelques unes qui sortaient du flot de paroles débitées.. Il était un peu paumé, ces flashs l'aveuglaient et il sentit un mal de crâne monter.. Les deux gardes du corps firent alors leur travail et repoussérent les photographes pour laisser de la place au couple. La main de Salsa voulut se désserer de la sienne à un moment, mais celle de Johnny s'y accrocha, il avait besoin d'elle, maintenant plus que jamais.

"- Un peu de silence s'il vous plait.."

Tous les journalistes se turent en même temps et même les flashs arrêtérent de pleuvoir sur eux.. Ils étaient tous en alerte leur magnétophone ou stylo à la main.. Johnny se racla alors la gorge pour répondre briévement aux questions posés.

"- Merci.. Mh.. Tout d'abord je ne crois pas qu'on puisse parler de moi comme d'un héros, mes instincts m'ont guidé, vous auriez certainement faits pareils dans mon cas.. Se prendre une balle n'est jamais quelque chose de plaisant et j'aurai préféré ne pas en passer par là..
Si vous voulez des informations sur Mlle Fox, vous n'aurez qu'à lui poser vous-même vos questions à sa sortie prochaine.."

Certains journalistes prirent rapidement des notes alors que d'autres lançaient déjà au couple de nouvelles questions, qui visaient surtout Johnny, mais l'une d'elle l'interpella, venant du fond..

"- Mr Cash.. Vous et Mlle Inferno semblez bien proches aujourd'hui.. Il me semblait que votre dernière rupture avait été pénible.. êtes-vous prêt aujourd'hui à courir de nouveau le risque de la perdre ?"

Cette question il la redoutait.. mais il avait prit la décision avant même de passer les portes de l'hopital d'y répondre avec franchise.. tant pis si sa popularité en prenait en coup.. mais il était assez malin pour faire plâner un petit doûte quand même..

"- Tout l'monde a le droit de saisir sa chance, vous ne pensez pas ?..Il y a un temps pour vivre avec ses peurs et un temps pour aller de l'avant.. Je pense que cette expérience m'aura servi sur ce point.."

Johnny afficha un petit sourire amusé alors que le regard de Salsa brilla d'un petit éclat qu'il fut le seul à voir.. Quelques nouveaux flashs les accompagnérent alors qu'ils descendaient les marches du péron pour gagner la mercedes de Salsa, disparaissant tout deux derrière les vitres teintées à l'arriére du véhicule. Quel moment éprouvant..

( suite sur la route menant à Lorena)

Maxence arriva à pieds à l'hôpital. Ses papiers qu'il déchiffrait à la main. Il avait du revenir trois fois sur ses pas avant de trouver enfin l'entrée de l'hôpital. Preuve que son sens de l'orientation s'émoussait sérieusement... Mais nan, il ne commençait pas a se faire vieux ! il avait juste besoin de se remettre un peu en forme !...

Il lui fallait présenter ce papier à l'accueil, et attendre d'être pris en charge pour un check Up complet qui devrait prendre la journée.

- heu, Bonjour... Je viens pour un examen complet de la part du...
- Aller en salle d'attente, un médecin va venir s'occuper de vous !
- .. Bien aimable...

Maxence s'exécuta, et allant s'assoir, se demanda si il avait bien fait de descendre ces deux gorgées de Jacky Daniels sur le chemin de l'hôpital parce qu'il faisait chaud... Comme un collégien avant un premier rendez-vous, il fit semblait de se gratter le nez, pour souffler dans sa main et renifler son haleine...

Aie...

Il se releva précipitamment et alla dans les toilettes de l'hôpital. Face à la glace, il se rinça plusieurs fois la bouche, se gargarisant une demi dizaine de fois, avant de refaire le test.

Aie...

Il alla alors au distributeur et se pris un café long non sucré. et retourna s'assoir pour le siroter, en espérant que son haleine changerai d'ici à ce qu'un médecin s'occupe de lui pour l'examen de routine...

*****

Cinquante et une minute plus tard, maxence sortit de la salle d'examen.

Deux heures et demi plus tard, Maxence recevait les papiers attestant de sa condition physique : "Apte".

les formalités achevées, Maxence retourna au Departement de Police, afin de reprendre pour de bon son rôle de flic.

Ambiance obligée

Chris Chang conduisait sa lambhorgini décapotable à toute vitesse….Stan fouilla son sac et en sortit un cd, qu’il plaça dans le CD player….

C’est Greg qui chante tu dis ?
Oui..une de mes compositions !!!! Nous sommes prêts pour les hits parades !!!

Une musique disco résonna…Stan agita la tête et se mit à chanter et rythmer les basses en frappant le tableau de bord….
Pas mal …un peu disco, mais ça peut le faire….
Ouais !! Je dois demander à Joy de nous produire….ça va faire un carton !!!!!
Chris esquissa un petit sourire et ajusta ses lunettes de soleil sur son nez…
Chemise blanche ouverte, jean délavé, le jeune avocat était tout simplement sexy et classe….
Stan regarda son propre accoutrement…une fois célèbre, il changerait de look et troquerait sa chemise à carreau et ses pantalons de toile contre des vêtements de marque…

Il a une sacrée voix notre Greg….comme quoi il peut être agréable à écouter parfois !!!!

La voiture s’arrêta à un feu rouge….une ferrari, deux blondes superbes et siliconées, firent de petits clins d’oeils aux deux compères…

On a une touche !!!! Suis les !!!
Je pensais qu’on devait aller chercher des affaires à l’hosto et que c’était urgent ?????
Oui oh urgent…..
Chris enleva ses lunettes.
Attends !!!! J’étais sur un dossier pour Joy et tu es venu me supplier de te conduire de toute urgence à l’hosto !!!! Tu te fous de moi dis ????
Mais Stan ne l’écoutait plus et s’adressait aux deux nymphes qui gloussaient comme des perruches…

Oui nous sommes libres…..oh un bon resto sympa ça pourrait le faire….
Non mais tu vas arrêter ????
Chris tentait de retenir Stan par la chemise….
Celui-ci nullement gêné tendit une carte avec son numéro aux deux donzelles qui se regardèrent en riant…..

Le feu devint vert, les voitures démarrèrent en vrombissant….

T’es malade ou quoi ????
Ce soir on baise mon pote !!!!!
Pas mon style…
Oh tu sais…les fesses en l’air et la tête dans l’oreiller…..
Chris secoua la tête, affligé….
Stan le regarda, un petit sourire sur les lèvres….
Tu crois que t’as toutes tes chances avec Joy ????
Alors là, je ne me fais plus d’illusions…
Ben alors…..

Chris le regarda…
Je déteste les femmes vulgaires….

---------------------------------------------------------------

Le hall de l’hôpital était immense…Chris regarda sa montre….
Bon t’as dix minutes pour réunir tes affaires et….

Mais Stan courrait à présent vers une jeune femme blonde d’une vingtaine d’années….

Non mais c’est pas possible, ce mec se shoote à la testostérone ou quoi ????
Stan arriva près de la jeune fille qui visiblement semblait perdue....

Chloé !!!!! mais qu’est-ce que tu fais là ????? Tu dis pas bonjour à tonton Stan ?????

5. ambiance

Chloé descendit du bus qui faisait la ligne directe entre l’université et l’hôpital….il est 7h45..un gobelet de café fumant et un muffin de l’autre….en chemin elle était passée par la cafetaria du campus ….pressant le pas avala la dernière bouchée de muffin …..passe les porte battante et se retrouve dans la hall ….regarde sa montre ….

* encor cinq minutes *

Elle se dirigea vers la bureau d’accueil ou une femme était au téléphone…Chloé attendit qu’elle raccroche. Son stress augmenta …..Jetant des regard un peu partout …..Des patient en robe de chambre se promenait accompagné de leur famille…un homme en fauteuil avec la jambe plâtrer se faisait pousser par un infirmier …a coter de lui trottinait un jeune femme. Surment son amie….. Voila l’endroit ou son internat allait commencer….

Que puis je faire pour vous mademoiselle …s adressant a Chloé qui sortie de son observation….
Ha…bonjour je m’appelle Chloé Jones j ai rendez vous avec ….elle chercha la lettre qu’on lui avait envoyée …. Madame Mei Liao la directrice de l hôpital.

Oui veuillez patienter un instant.. Je vais la prévenir

L’hôtesse d’accueil prit le téléphone et composa un numéro

Allo….Bonjour Lyn de l’accueil madame le directrice…j ai devant moi …La jeune femme regarda Chloé. Celle-ci articula son nom….Chloé Jones… elle dit avoir rendez vous avec vous……Très bien Madame Liao …je la fait patienter …. Elle le raccrocha
La directrice Liao va descendre et ma demander de vous faire patienter …..

Chloé la remercia …. Et fini la dernière goutte de café de son gobelet ….en attendant elle alla jeter son gobelet dans la poubelle ….

Chloéééé !!!

On venait de l appeler, elle se redressa a la recherche de qui l’appelait …..* pas possible que je connaisse quelque un ici, ça fait a quarante huit heure que j’ai mit les pied sur cette île…*
Elle vit la personne qui venait de prononcer son nom ….

mais qu’est-ce que tu fais là ????? Tu dis pas bonjour à tonton Stan ?????

Oncle Stan !!!! Surprise de le voir ici, Elle savais qu’il était chirurgien urgentiste mais au dernier nouvelle, il était dans le priver….
Ben oui qui veut tu que se soit….. Dit il devant sa surprise…..Alors on vient pas embrassé son oncle Stan
Chloé se mit a rire ….il avait pas changer toujours aussi ’’Oncle Stan ’’ …. Elle se fit pas prier et alla l’embrasser…il la serra dans ses bras …..apres des retrouvailles chaleureuse ….
Mais que fait tu ici ?
Avec un sourire complice, elle lui répondus …..Ben je suis les traces de mon tonton préféré
Quoi…. t es déjà médecin dit il en écarquillant les yeux
Mais non seulement interne …..Dans un rire …..Pour l instant.
Tu sera la meilleure t a de qui tenir il lui fit un clin d’œil
Ha oui de qui??? Elle prit un air innocent …

Ben moi évidement dit il en gonflant sa poitrine …tel un coq.

6.ambiance

Il embrassa Chloé sur le front....
Je dois y aller ma caille.....
Stan s'apprétait à partit lorsque Chris lui dit....
vas y déjà...je te rejoins!!! Chloé semble perdue.... Je vais lui servir de guide....

Désolé cela aurait été avec plaisir mais je crois que j ai déjà un guide. Chloé venait de voir une femme asiatique en tailleur parler avec Lynn L’hôtesse d’accueil…. Qui la montait du doigt Elle fit un sourire a Chris et s adressa a son oncle…qui était resté ne voulant pas laisser sa nièce seule avec Chris .
Je t appelle dans la semaine oncle Stan…. Ravie de vous avoir rencontré Chris ….
Elle ne leur laissa pas le temps de répondre. Elle se dirigea déjà vers La directrice de l’hôpital avec qui elle avait rendez vous ce matin. Quant Stan vit Mei Liao, il attrapa Chris par le bras et se mit à marcher d’un pas pressant.
Dépêche toi…Chris …je ne veux pas tailler la bavette avec Madame Glaçon…..

Chris se retourna une dernière fois pour apercevoir une dernière fois Chloé…..Elle était en conversation avec la directrice …leur regards se croisèrent …..

Bonjour vous étés Melle Jones
Oui
La directrice lui tendit la mains Je suis Mei liao direstrice de l'hopital centre heaven Island.Chloé la lui serra.
Je vais vous faire visité l’hôpital et vous a présenterai au titulaire du service des urgences.
Chloé croisa le regard de Chris et en fut troublé …sensation qu ‘elle n avait pas ressentit depuis un certain temps…. Elle le trouvait belle homme…elle se demandait ce qu’il pouvait faire avec son oncle Stan…..
Vous me suivez Melle Jones Madame Liao la sortit de ses pensées
Oui oui je vous suis … * concentre toi ma vielle* Elle rejoignit la directrice qui s était déjà éloigné …. Elle fourra le papier de bonbon avec le numéro et l’adresse ou logeait son oncle dans son portefeuille …..

Nous avons un capacité de 800 lit environ toutes spécialité confondu…..disposons d’un service urgence de pointe , des meilleurs appareille d’imagerie médical , d’un laboratoire de haute technicité, d’un service pédiatrique et de neonatalité performant et un service de médecine légale …..Nos médecin ont était former au quatre coin du monde et font partie des meilleur…….Elle continua a lancer des fleur a son hôpital
Chloé écouta attentivement ponctuent les phrases de phrase bien placé du style ‘’ j’ai de le chance’’.

Vous avez votre carte d’accès
Oui je l ai récupéré hier Chloé chercha dans son sac et la sortit triomphante …..
Ne la perdait pas, elle vous donne accès a des endroits interdit aux public telle que la pharmacie.

Elles se dirigèrent dans les couloirs, rencontrant des patients et le personnel de l’hôpital….. La directrice lui présentât un médecin des urgences…rencontré au niveau du service d’administration……

Après elles se dirigèrent vers le service des urgences, il était 9h…..

suite

Et voilà… 8h45 alors qu’il doit être à 9h au taf. S’il chope Kenneth, il l’assomme. Bah, il est plus à une minute près. Il sort une cigarette, l’allume, tire une bouffée, expire. Ça va déjà mieux.
Pfff… Sale nuit. Son mouflet qui veut lui ramener des greluches à la maison. Décidément… Il le comprend pas. Pourrait pas bosser ou étudier non ? Non, préfère s’envoyer en l’air.
Sean songe à faire de son fils un gigolo un instant, histoire qu’il soit productif. Quoique pour le coup, il serait capable de se retirer dans un monastère rien que pour le faire chier.

Oh ils s’entendent bien. Mais bon. Faut pas trop leur en demander non plus.

8h57. Sean entre aux urgences. Il enfile la blouse qu’il a prévu. Il fait suffisamment bon. Il n’a pas eu besoin de mettre un manteau. Il est prêt à travailler.

Il arrive à l’accueil. Salut Mary, puis Nadia. Toujours dans le même ordre. Elles sont toujours là dès 8h.
Une bise rapide. Toujours le même mot :

Bonjour mes belles. On retrouve toujours les mêmes.

Elles sourient. Un médecin qui les respecte. Elles l’aiment bien. Il change des autres.

Alors ? Je fais quoi ce matin ? On a du boulot ?
Vous touchez une petite nouvelle ?
Je « touche » ? Vraiment ?
Docteuuur !

Mary rougit. Toujours timide. Nadia rigole. Elle le sait trop consciencieux pour profiter d’une nouvelle. Elle lui avait proposé une relation et il a refusé. Jamais dans le cadre du travail. Et puis elle connaissait ses défauts.

Son nom ?
Chloé Jones.
Elle est comment ?
Dans votre dos.

Il se retourne, voyant une frimousse blonde.

On fait dans le baby sitting ?
Elle est plus âgée que ne vous croyez.
Et le dragon frigide avec elle.
Elle a une bourse Vanzetti.

Sean siffle. La Vanzetti. Celle là… Une diablesse qui se faisait passée pour une sainte. Il en était sur. Trop belle pour être honnête. Et la petiote…
Sean se demande si elle tiendra le rythme. Petite chose fragile. Elle se fend d’un grand sourire.

Mei Liao en personne. Dame, quel honneur.

Sean fait une révérence. La directrice fronce les sourcils.

Que faites vous ici ?
J’attends mon nouveau petit bichon. La voilà ?! Enchanté Miss. Je suis le Docteur Flannagan. Mais appelez moi Sean. Si j’aime la politesse, nous allons passer beaucoup de temps ensemble, alors autant que ce soit dans la bonne humeur.

( Précédement à l'aéroport d'Heaven Island )

Quatrième jour - Passé 23h.. - Hall de l'hôpital

"- Je suis désolée Mr Cash, mais je ne peux vous laisser voir Mlle Inferno ce soir, les heures de visite sont terminés, il va falloir attendre demain matin.
- Mais je vous dis que c'est important. Je dois lui parler, c'est une question de vie ou de mort.
- Ne vous inquiétez pas pour elle, nous en prenons grand soin, elle sera toujours là demain matin pour que vous lui parliez.
- Raaah mais c'est pas vrai ça, vous le faites exprès?
- J'ai des consignes, je suis navrée, sans l'accord d'un médecin, je ne peux vous permettre de la déranger à une heure pareille."

Fulminant comme jamais, Johnny Cash était planté devant l'accueil de l'hôpital à dévisager l'infirmière de garde qui refusait catégoriquement de lui donner la moindre information sur Salsa. Le regard sévère, les sourcils froncés, il tentait de contenir sa hargne et de ne pas lui sauter à la gorge pour la faire parler et vue l'heure il lui serait difficile de mettre la main sur un médecin faisant des heures supplémentaires et assez sympa pour lui arranger le coup. C'était une perte de temps considérable et il devrait déjà être avec elle, à son chevet, la serrer dans ses bras jusqu'à l'étouffer.

- Putain d'administration de merde !

Pas un mot qui ne franchit la barrière de ses lèvres et pourtant il le pensait haut et fort. Volte-face pour tourner le dos à la mégère, les coudes posés sur le comptoir alors que l'infirmière reprenait sa place sur sa chaise longue, surveillant du coin de l'œil les allers et retours à l'étage. Une diversion, c'était tout ce qu'il lui fallait mais les couloirs étaient malheureusement déserts, son chef de sécurité et l'agent qui l'accompagnait étaient restés dans la voiture. Il était seul dans son malheur, frustré de ne pouvoir faire un mètre dans cet hôpital sans être repéré par toute une clique de blouses blanches.

Et puis, il se mit soudainement à glousser, un rire d'abord étouffé qui s'échappa finalement de ses lèvres quand il rejeta sa nuque en arrière, extériorisant sa frustration de manière démentielle. Johnny Cash pétait-il un plomb dans le hall d'accueil ? Non.. au contraire, il retrouvait la raison. Ses lèvres s'étirèrent alors en un sourire confiant, retrouvant son calme et il tourna la tête de biais pour murmurer des mots simples mais criant de vérité à l'intention de l'infirmière.

"- Aucune barrière ne peut retenir l'Amour.
- Pardon?"

Un long silence s'en suivit et soudain...

... L'alarme incendie du rez de chaussé se mit en route, miraculeusement et les portes coupe-feu se fermèrent automatiquement pour éviter la propagation des flammes, créant alors un vent de panique considérable chez les patients et le personnel soignant de l'étage. L'infirmière à l'accueil se leva brusquement de sa chaise qui se renversa en arrière et pria l'Acteur de quitter les lieux au plus vite avant d'accourir sur ses sabots boiteux vers le médecin de garde.

"- Vérifiez chaque chambre au plus vite. Et si vous trouvez un foyez d'incendie ne prenez pas de risque, évacuez les lieux!
- Bien Monsieur."

Chacun se mit alors à sa tâche et au milieu de la panique et de la confusion qui régnait au rez de chaussé, Johnny se tenait toujours à sa place, adossé au comptoir.. visiblement calme, un sourire même étirait ses lèvres, amusé. Quelques mèches de cheveux bruns tombèrent devant son visage lorsqu'il jeta un coup d'œil vers l'entrée pour apercevoir l'ombre de son Ange-gardien qui quittait l'établissement par les grandes portes, visiblement pas étranger à l'histoire. Il penserait à le remercier plus tard..

D'un pas de coté, il contourna le comptoir et pianota sur le clavier de l'ordinateur de service, à la recherche du numéro de la chambre de Salsa.


( Suite sur le toit )

Commissariat

Ambiance


Niki descendit de la voiture et se faufila rapidement à l'intérieur de l'hôpital.

- Je n'en ai pas pour longtemps Kurosagi, attends-moi !

La jeune femme se dirigea à l'acceuil en espérant qu'elle ne serait pas obliger d'être de nouveau confronté à un "occupé"...

- Excusez-moi...
- Oui ? lui demanda une femme le teint blafarde.
- Voilà, je suis l'agent Rodriguez et...

Niki ne finit pas sa phrase, elle avait oublié sa plaque au commissariat. Comment pourrait-elle prouver qui elle était désormais ? Elle soupira tout en baissant la tête et la redressa en faisant un large sourire.

- Je vous assure, fit-elle en montrant le dossier qu'elle tenait en main, je suis bien un agent de police et je dois voir Mlle Matfield Maya qui se trouve actuellement dans cet hôpital !
- Nous sommes désolés mais si vous n'êtes pas de la famille ou si vous n'avez pas de quoi prouver que...
- Agent spécial Senshirou. Cette jeune femme est ma collègue. Elle est nouvelle alors... sussura la voix derrière Niki.

Cette dernière la reconnut de suite, c'était Kurosagi. Mais comment avait-il une telle plaque... ? La femme à l'acceuil ne fit pas une, elle tapota dans son ordinateur et quelques secondes plus tard donna le numéro de chmabre et l'étage à laquelle se trouvait l'avocate.
Les deux amis, remercièrent la secrétaire et se dirigèrent vers l'ascenseur.

- Mais comment t'as eu ça toi ? demanda-t-elle incrédule.
- C'est juste un jouet... Tu sais, pour le théâtre...
- En tout cas il est bien fait car elle n'y a vu que du feu.
- Tout est dans le ton que tu emploies.
- Aaahhhh... mais bon, je t'avais dit de rester dans la voiture... C'est une enquête policière !
- De rien, fit-il mine de rien, se fut un plaisir...



Chambre de Maya

150.

( avant, sur la route menant à l'hôpital..)

Sarah Brightman: harem

- N'en fais pas qu'à ta tête comme d'habitude. Et... appelles-moi.

Salsa leva ses grands yeux noirs, noyés d’incompréhension vers Johnny qui déjà la lâchait qui déjà tournait les talons pour s’en aller le long de l’allée, laissant derrière lui une jeune femme complètement figée. Alors c’était tout? En quelques mots, il reprenait sa route? Comme un ami repartait après avoir rendu visite à une amie…Il partait…sur quelques mots seulement…

Derrière elle, Jo fit un pas en avant, mais Tom le retint par le bras, secouant la tête.. C’était encore une fois, un sale coup du destin, après tout ça, encore un autre.. Tom n’était pas sûr de comprendre cet homme, il n’était pas sûr de comprendre ce qui se passait entre ces deux là, mais ce qu’il savait, ce dont il était persuadé, c’est qu’elle l’aimait et à voir comment il la regardait, lui aussi… Mais apparemment cela ne suffisait pas..

Et si Salsa devait se redresser et continuer son chemin, c’était maintenant, ou jamais.. Les deux gardes du corps restèrent immobiles, guettant la moindre faiblesse, prêts tous les deux à se précipiter vers elle..
La jeune femme, elle, n’arrivait pas à détacher son regard de cette silhouette qui disparut au prochain détour… Tout était si calme autour d’eux, pourtant Salsa subissait une véritable tourmente intérieure…Elle subissait par vagues successives les torrents de douleur qui lui serraient le cœur comme un étau, lui broyaient les tripes et lui serraient tellement la gorge qu’elle ouvrit brusquement la bouche pour aspirer une grande bouffée d’air, laissant s’échapper une plainte, un soupir si faible…

La détresse pouvait se voir sur son visage… Son départ si brutal…elle ne comprit pas, mais il avait choisi.. Et à présent, c’était à elle de choisir.. Salsa pouvait décider de baisser les bras et de sombrer dans le désespoir ou bien, elle pouvait choisir de se battre, car il lui resterait toujours sa meilleure arme, contre la peine, contre la douleur, la seule arme qui l’aiderait à ne pas sombrer… Il lui resterait toujours sa colère..

La jeune femme se redressa, essuya les larmes qui s’étaient échappées bien malgré elle, et son regard prit cette teinte si sombre qui annonçait les pires moments pour ceux qui ne seraient pas dans les bonnes grâces de Salsa. Jo et Tom retinrent leurs souffles quand elle fit brusquement face à eux et quand sans les regarder, elle se dirigea tout droit vers l’entrée de l’hôpital. Salsa ne vit pas le regard grave et entendu qu’ils s’échangèrent dans son dos.. Ils avaient vu dans ses yeux, cette flamme qui brillait à travers l’écran de larme, et cette détermination…

Tom et Jo s’empressèrent à sa suite, craignant déjà pour le premier qui aurait à subir sa colère, car il affronterait la première vague, et elle était énorme…

...

Ambiance...

Le bus en provenance d'El Rio Santo s'arrêta devant l'hosto.
Seuls deux voyageurs en descendirent... deux chicanos: un maigrichon balafré et un colosse monstreux.

- Merde mec, qu'est-c'qu'on fait là? T'as pas pété un mot depuis que tu m'as dis de te retrouver à l'arrêt d'bus. demanda Francisco, mi-curieux, mi-inquiet.

- J'ai pas causé parce que... parce qu'on était pas en sécurité... j'étais pas sûr... répondit Luis en regardant autour de lui.

Les deux hommes se dirigèrent vers les arbres qui bordait l'entrée de l'hosto. Luis s'adossa à l'un d'eux.

- Voilà... ici c'est bon. Tu te rapelles le type que t'a envoyé ici? Tu sais, le rital! Tu lui a filé un upercut et il s'est ecrasé sur le trottoir.

Francisco ne s'en rapella pas tout de suite, mais, lorsque que le souvenir du rital ecrasé sur le troittoir devant le Mambo Club, il acquiessa avec un sourire.

- Ouais... ben c'est lui qu'on est venu chercher... je sais dit Luis en réponse au regard attéré de Francisco. Donc, on trouve un moyen d'entrer, on sort le macaroni, on l'enmène dans un endroit désert... puis on l'bute...simple nan? dit Luis avec un sourire forcé, tentant de paraitre sûr de lui.

- Merde mec... j'suis pas sûr de c'coup là... les ritals doivent le protéger à fond c'fumier...va falloir ruser

- Nan, j'pense pas... Ped... j'veux dire, ce type, c'est qu'un pion, si ça se trouve, les mafiosi, ils sont même pas au courant de l'état dans lequel il est. répondit Luis, absolument pas sûr de lui.

Francisco haussa les épaules. Puis, les deux hommes se dirigèrent vers l'entrée...


Les portes coulissantes du hall laissèrent passer deux chicanos qui attendaient dehors depuis pas mal de temps.

La réceptionniste, une rousse répondant au nom de Sydney, ouvrit ses yeux, d'un bleu magnifique, grands lorsqu'elle vit les deux gringos s'avancer vers elle. Elle tenta de conserver son calme, mais son tic nerveux la reprit. Elle cignait des yeux. De l'oeil droit en fait. Ca lui faiait ça à chaque fois qu'elle était inquiète.
Elle espèrait que les deux cow-boys n'allaient pas lui parler, qu'il allaient aller directement dans l chambre qui les interressaient, qu'ils allaient la laisser tranquille. C'est vrai quoi, il lui reste à peine 30minutes vant de pouvoi entrer chez elle, 'pas le moment de se faire emmerder par deux voyous!
Pour tenter de les dissuader de lui parler, elle fronça les sourcils, baissait les yeux et se concentra sur une feuille qui trainait là.

- Hum hum toussota quelqu'un devant elle...

Enfin, au-dessus d'elle... c'est pas dit hein, peut-être qu'il s'adresse à Sofia, sa collègue juste à côté hein...

- Madame? reprit la voix

Madame, madame, c'est vague hein, 70%au moins des réceptionnistes sont des femmes, ça pouvait être n'importe qui! Sydney ne releva donc pas la tête...

- Wohoo insista la voix, renforcée par une main qui frappai doucement le bois du bureau de l'accueil.

Ce p'tit salaud lache pas l'affaire hein? Cette fois-ci, elle n'avait pas le choix... Elle releva la tête, un sourire pincé, plus faux que les seins des filles sur cette île aux lèvres.

- Ouiiiiii? grinça la rouquine, cachant des minsla feuille qu'elle regardait avec tant d'attention... une feuille blanche.

- Bah quand même! Si c'était une urgence on aurait eu le temps de mourir 30 fois! lança le plus petit des deux, un balafré à l'air pas comode.

- Si c'est pour faire ce genre de commentaire monsieur, il y a la boite à suggestions! Maintenant, si vous avez fini, n'emcombrez pas le hall répliqua Sydney.

Elle avait l'habitude de ce genre de critiques... pas le Latinos apprement, il était tout secoué, il avait perdu son air de tueur. Son pote, qui se tenait derrière, par contre semblait apprécier la réplique et esquissa, un bref instant, un petit sourire

- Hum... bref, mon ami et moi sommes venu rendre visite à Luigi Bollea... reprit le Balafré, reprenant son masque de caïd.

- Ba... Bi... Bo... Bollea, voilà marmonna la Rouqine en fouillant dans ses dossiers Ah... je vois que Monsieur Bollea ne peut recevoir que des visites de sa famille... Vous êtes de la famille? demanda la femme, fixant l'homme droit dans les yeux, bien qu'elle connaisse déjà la réponse.

Le balafré haussa les sourcils

- Oui-oui répondit-il

- Je ne vous croit pas une seconde rétorqua la femme sans sourciller

- C'est scandaleux! On ne nous croit pas parce qu'on est pas assez blancs! s'emporta l'individu Et bien sachez madame, que cet homme est le frère e ma demi-soeur madame! Je suis la seule famille qui lui reste! Il a eu un terible accident et nous ne pouvons pas le voir parce MADAME nous trouve trop bronzé! reprit le balafré, élevant l voix au fur et à mesure

Sydney se crispa un peu. Son oeil cligna encore plus.

- Monsieur, monsieur, camez-vous. Ce que nous allons faire, c'est que nous allons appeller Mr. Bollea, si il me confirme qu'ils vous connaient, je vous laisse passer...ok? demanda Sydney, tentant de controler un mximum la situation

Le balafré changea d'attitude, d'un coup, il semblait regretter son discours. Le clignement de l'oeil se calma un peu.

- Hum... non.... mon cousin déteste les téléphone... il aura probablement débranché le sien... hum... mis ce n'est pas grave, nous... nous reviendront... plus tard... et les deux chicanos s'éloignèrent, tournèrent au coin et disparurent du champ de vision de Sydney...

Elle soupira, arrêta de cligner de l'oeil et sourit...


- Qu'est-ce qu'on fait mec? demanda Francisco alors que les deux compères s'étaient réfugiés dans les toilettes.

- J'en sais rien mec... j'en sais rien... répondit Luis en faisant les cent pas, une main sur la nuque.

- On peut attendre que la rousse se barre et on recommence avec sa remplaçante... ça ira p'tet mieux...

Luis s'arrêta

- Mais non espèce d'idiot, avec l'esclandre que t'a faite on est grillé dans cet hosto jusqu'au prochain millénaire... ça m'étonnerais même qu'ils nous prennent, même si on est blessé... Luis releva la tête, Francisco voulu protester, mais son ami ne le lissa pas faire ...mais oui... comment on fait pour rentrer dans un hôpital? On se blesse! Lui avait dit ça en fixant le ventre de son ami

L'ami en question ne comprit pas tout de suite... il suivit le regard de Luis... et comprit

- Essaye seulement de me griffer et j t'enfonce ta propre tête au fond de ton cul lança Francisco, le doigt tendu en signe d'avrtissement.

Luis ne bougea pas

- Je ne vois pas de quoi tu parles

- Et là, elle nous dit "Oh pardon, en fait, il dormait!

Deux infirmiers venaient d'entrer dans les toilettes et tombèrent nez-à-nez avec deux Chicanos qui avaient l'air contrariés...


- 'Tain, ce con porte des trucs beaucoup trop p'tit... dit Francisco en réajustant son tout nouvel uniforme de toubib.

- C'est bon: t'es superbe. Bon, direction la chambre de Luigi... en évitant l'accueil... dit Luis en se dirigeant vers les ascenceurs.

- Attends un peu, gringo. On sait même pas où il est ce con!

Luis fit une grimace, trés courte. Il saisit une infirmière qui passait et lui demanda:

- Excuse-moi, tu sais où est la chambe de Luigi Bollea? On est nouveau et....

- B..B... chambre 123, 1er étage

- Merci!

Les deux chicanos se précipitèrent vers les ascenceurs, ils montèrent dans l'un d'eux... ils étaient seuls... tou ce passait bien pour l'instant..

- N'empêche, je me demande comment t'as put penser à me blesser juste pour pouvoir chopr un mec!

La porte de l'ascenceur se referma...

Les chiffres lumineux indiquèrent "1er Étage"

Un couloir


Ambiance


Niki lui avait dit, Niki lui avait raconté. Toute cette enfance qu'iul n'avait pas soupçonné, cette enfance que lui-même s'efforçait d'oublier... Il était partit sans rien dire, la laissant seule face à son désarroi. Il s'était vexé, vexé qu'elle ne lui ai rien dit avant, vexé de cette confiance qu'il pensait avoir...
Mais en fait, qui était-il pour la juger ? Lui non plus n'était pas honnête avec elle, lui aussi cachait certaine zone de son passé et de son présent. Il ne voulait pas lui dire, il voulait lui cacher. C'est pour son bien, oui, c'est pour la protéger !
Il s'arrêta à hauteur de la double porte qui ne faisait que s'ouvrir et se fermer devant lui. Il posa sa main droite sur son visage, voulant cacher la tête de quelqu'un qui s'était enfuit, la tête d'un lâche... Comment avait-il pu lui faire ça ? Comment avait-il pu la laisser en la traitant d'égoïste ? Comment pouvait-il... ?
Elle devait certainement pleurer, elle devait être triste, déçue... Kurosagi n'était pas un bon ami, il s'était comporté comme ses autres escrocs, ne pensant qu'à lui. Et elle dans tout ça ? Que pouvait-elle ressortir ?
Un pincement au coeur, une tristesse ressurgissant, une profonde entaille non cicatrisée. Une larme monta, une larme glissa. Pourquoi ? Pourquoi maintenant ?
Il ferma les yeux, se ressaissit, se demanda s'il devait aller la retrouver, s'excuser, la prendre dans ses bras ?
Et c'est là qu'il la vit, celle personne qui était au téléphonne, cette infirmière, cette femme. Elle discutait avec un homme. Un médecin ? Il n'en avait guère. Que faire ? Aller voir de plus près ? Oui, et ensuite s'excuser auprès de Niki.

Il s'avança, plus près, faisant fit de lire un magazine. Malheureusement, au moment où il s'en rapprocha davantage, l'homme partit et la femme s'alluma une cigarette. Que c'était-il dit ? Devait-il suivre cet homme ? Il ne pouvait laisser son amie seule ici. De plus, il devait voir cet escroc... Quoique lui pouvait attendre mais ce voleur d'organes, ce voleur de vie...
On le bouscula, sans s'excuser. Kurosagi se tourna vers la personne et c'est là qu'il la vit, cette personne dans l'ombre, un sourire en coin des lèvres. Leurs regards se croisèrent et il salua le japonais. Qui était-il ? Kurosagi s'approcha de lui mais fut bouculer de nouveau. Des internes passèrent devant lui et là, plus personne ! Un papier sur le sol, le jeune homme le rammassa.

Citation :

- TIC TAC -
Le compte à rebours a commencé, seras-tu à la hauteur ?

Qu'est-ce que c'était ? Lui était-ce adresse ? Mais pourquoi ? Quel compte à rebours ? Une image lui vint en tête, celle de son amie. Sans y réfléchir davantage, il courut dans les escaliers les montant quatre par quatre. Essouflé il chercha partout. A droite, à gauche. Où était-elle ? Dans la chambre de cette femme ?
Il se mit à courrir dans les couloirs de l'hospital. Des médecins s'activaient, un attroupement autour de cette chambre. Son coeur se serra, Niki pensa-t-il !
Arrivé à hauteur, il poussa les médecins et entra tant bien que mal dans la chambre. Sur le lit, la femme reposait, sereine. Sur le sol, l'agent du FBI baignant dans une marre de sang. Aucune trace de Niki. Mais où était-elle ?
Une voix s'excusant, une voix maladroite forçant le passage. Il l'aurait reconnut n'importe où !
Lui aussi se fraya un chemin et quelques secondes il tomba nez à nez avec Niki.

- Yokatta...

Et sans qu'elle puisse réagir, il la prit dans ses bras pour la serrer contre lui. Et sans qu'aucun d'eux ne puissent s'en rendre réellement compte, leurs lèvres se rapprochèrent...



Salle d'attente

On avait rendu la liberté à Hunter, enfin il n'était pas vraiment prisonnier, il était simplement venu pour un entretien, certes les gros dur avaient montrer qu'il ne plaisantait pas, mais ce n'était pas vraiment ce qui avait impressionner Hunter, ce n'était pas la première fois qu'on l'avait braquer dans sa vie et ce ne serait sans doute pas la dernière fois, mais ce n'était pas ce qui faisait peur à Hunter, cela faisait monter l'adrénalyne et il adorait ça...

* Tenter de me remettre à genoux, une seule fois et même s'il y a un bain de sang, je jure que je ferais tout pour vous y mettre moi à genoux *

Pensa t'il très calme en faisant craquer sa nuque, il n'avait pas été très futé en empruntant cette blouse à se medecin menu, mais bon il était passé inaperçut devant les autres medecins, ensuite heureusement qu'il s'était disons déguisé car cela avait attirer d'avantage l'attention des sbirs de Juliana et malgrer le traitement qu'on lui avait infliger, il était rentrer avec une grande facilité, ils croyaient qu'une arme pointé sur sa tempe pour l'empècher d'agir ? Mais rien ne dit qu'il aurait eut le temps de tirer... Enfin ce n'était pas grave, il avait pus avoir une entretien avec " le phénix " et il avait une chance de pouvoir avoir un boulot, mais pour l'instant on l'avait confier aux mains de Lara, la jeune femme qui l'avait intercepter dans le couloir...

Elle aurait été seul il aurait peut-être pus arranger la situation, elle devait avoir du talent, mais qui sait, la seule chose qui pouvait lui donner l'avantage était l'effet de surprise...

Et puis se Park ! Il ne l'inspirait pas vraiment, il aurait aimer savoir ce qu'il avait dit à Juliana, car le temps qu'il avait employer était assez tendu, pas violent mais on sentait qu'il y avait un peu de contrarièté, il ne semblait pas d'accord sur quelque chose, mais Hunter ignorait ce que s'était, il aurait aimer savoir ce qui ce passait....

Dans l'ascenseur avec Lara...

Hunter avait le regard froid, il n'avait pas vraiment aimer se manque de respect qu'ils avaient fais preuve envers lui, enfin de compte, il n'y avait que Juliana qui avait fait preuve d'un minimum de respect envers lui...

Hunter tandis la main à Lara, pas pour la lui serrer, elle avait quelque chose qui lui appartenait...

" Je peux le récupérer ? "

Dit-il calmement, il voulait récuperer son Desert, elle avait interet à lui remettre car il ne serait pas aussi calme tout le temps, c'était quelqu'un qui ne supportait pas le manque de respect et il avait été calme malgrer tout, mais il ne faut pas le pousser à bout et la Lara certe armé était seule avec lui dans cet ascenseur et elle ne le braquait plus maintenant, il n'y en avait plus l'utilité...

Il n'avait pas daigner posé le regard sur elle, elle aurait trouver moyen de trouver une critique à lui balancer, du genre " qu'est ce que tu regard " ou bien encore " fait pas le malin " pour l'instant il voulait récupérer son bien après on verra...

5 ambiance

Je peux le récupérer ?

Lara tournait légèrement la tête et le regardait de bas en haut … Elle se retrouvait avec lui sur le dos. Sa cousine voulait qu’elle le forme mais elle avait autre chose à foutre comme que veiller à l’affaire de l’île …

Quoi?

Il semblait vouloir garder son calme, bien qu’elle le sentait tendu … IL fallait vachement être gonfler pour débarquer ainsi. Le pauvre, il avait eu de la chance de tomber sur un bon jour du Phénix … Elle en avait descendus pour moins que ça …

Mon arme …
* che è quello L'abbia il mio coniglio Lei si sente rigido nudo..* (qu’est. Que t’as mon lapin tu te sens tout nu..)

Elle se concentra de regarder les chiffres lumineux des étages défiler tout en souriant….

C’est l’un de mes hommes qui l’a … mais t en fait pas on te le rendra ….
C’est quoi ton nom déjà ….
Hunter….

Lara a coté de lui semblait frêle face a cette montagne de muscle …

Mio piccolo favorito.. Il va falloir changer de look parce que le coté je sort de prison ça le fait pas on fait dans la discrétion plutôt …

Les portes de l’ascenseur s’ouvrit sur le hall de l’hôpital … Lara sortait sans se souciait de savoir que hunter suivent ou pas …. Mais celui-ci savait qu‘il avait était confier a Lara alors la suivait docilement … En quelque instant il fut encadrer par deux hommes..

A ta gauche c‘est Mario …a droite Lorenzo.. Ils vont devenir tes deux meilleurs amis dans les mois avenir ….

Hunter regardait les deux hommes qui l’encadrait qui ne dédaignaient pas lui lancer un regard les lunette de soleil visée sur le nez…. Le groupe traversait le hall et sortirent de hôpital.. En chemin vers la voiture, elle mettait Hunter au parfum…. Quant à lui, il restait silencieux et écoutait …

Te fait pas d’idée …C’est parce que Juliana t’as engager qu’elle te fait confiance … je suis chargé de savoir se que tu vaut mon lapin … Te descendre a tout moment ne me posera pas de souci de conscience … On vit pour le Phénix …on meurt pour le Phénix … Alors si tu changes d’avis c’est maintenant sinon cela sera trop tard …..

Elle accéléra le pas vers la Mercedes ou un troisième homme les attendait …. Hunter suivait le mouvement ….

Si j’étais pas sur j n’aurai pas prit autant de risque …..

Lara se mit à rire….

On ne sait jamais…. Tu trahi le Phénix c’est comme si je le trahissais car t’es sous ma responsabilité…

Ils arrivaient prés de la voiture ….

Anthony mi dia la sua arma (donne moi son arme …)

L’homme sortit le désert de sa veste et le tendit a Lara … qui s’en saisir … Elle se tournait vers Hunter qui attendait ….

Voici ton joujou …
Merci dit il en la vérifiant. IL vit qu’elle était vide et levait la tête vers Lara qui le regardait souriante et amuser …

Tu crois pas que j’allai te la filer charger …. Une autre chose …

La jeune femme s’approchait de lui tout en levant la tête comme il était plus grand qu’elle, le regardant les yeux … L’homme soutenait son regard ….Sa voix avec son accent italien était douce et ferme a la fois …. Loin d’être impressionner par le gabarit de son interlocuteur ….

Je te dis de te coucher..tu te couche
Je te dis manger..tu mange …
Tout ce que je te dis..tu le faire ….
C’est clair …

Hunter qui ne semblait pas impressionnée répondit calmement …

Clair….
Bene…

Elle se retournait et l’un de ses hommes lui ouvrit la portière avant passager … Alors qu’un autre invitait hunter d’un signe de s’installer à l’arrière….

I bambini hanno la casa..(Les enfants a la maison ….)

suite a la maison

Il se sentait tout nu en effet, mais qu'elle ne croit pas qu'un type que sort de taule n'a pas de ressource avant la taule, il avait décimer la mafia qui raignait dans son quartier des Russes qui jouait les grands, il sait comment cela fonctionne et il a tout de même de l'entraînement ou bien alors il est vraiment chanceux d'être encore en vie, mais il s'en moque sa vie n'est pas bien importante donc qu'on le tue maintenant ou demain ce n'était pas grave, mais il aurait pus désarmer la jeune femme s'il aurait voulu, pas besoin d'une arme pour tuer surtout dans un endroit si étroit, il avait une force physique assez conséquente pour assomer la jeune femme d'un coup de coude et lui péter en prime le nez ou bien l'attraper au niveau de son coup et de la soulever sur le côté de manière à ce qu'elle ne puisse le frapper que sur son flanc, un des endroits qui chez lui est très résistant à cause du sport qu'il pratiquait, il prenait son arme de son autre main et patientait calmement que le souffle de celle-ci devienne néant... Mais ce ne fut pas le cas, il resta calme du mieux qu'il pouvait et laissa une chance à la jeune femme, elle ne m'héritait peut-être pas se sort là, arriver en bas, on aurait peut-être eut le temps de le descendre, mais peu importe elle serait morte...

Mais il était venu ici pour un job, il laissa donc la jeune femme jouer les caïds et faire la maline avec lui, tôt ou tard elle devrait le respecter comme les autres, qu'elle n'ait pas confiance en lui, il s'en moquait royalement, ce qui comptait était la confiance de Juliana si un jour elle daignait lui faire confiance, ce qui arrivera sinon cela ne sert à rien de l'engager...

Elle n'avait pas son arme...

L'ascenseur termina sa course et deux hommes les attendaient, Hunter les observa et sourit légèrement en les voyants...

* C'est les Men in Black ces deux là ou bien ils se la jouent à la Matrix ? Péter un coup les gars sa vous détendra... *

Pensa t'il en secouant légèrement la tête, enfin s'était sans doute la tenue réglementaire...

Il suivit le mouvement en prenant soin d'observer les alentours pour voir un peu ce qui se passait, il était de nature observateur, il n'aimait pas lorsqu'un détail lui échappait...

On l'emmena à une voiture de type Mercedes, il y avait un autre type encore, décidement on ne risquait pas de venir la violée, elle était bien entourer, c'est dommage que face à un tireur d'élite ces trois guignols ne serviraient absolument à rien enfin on ne peut pas être protèger de tout...

Elle daigna lui rendre son arme qui lui fut remise par l'un de ces hommes, ce qui était à prévoir c'est que celle-ci était vide, de quoi avait elle peur, ce n'était qu'un tolard comme elle lui avait bien fait comprendre...

" C'est bien ce que je pensais... Vous avez peur "

Dit-il en souriant légèrement, ils n'avaient pas peur non, ils devaient être entraîner pour ce genre de situation, c'est marrant cela lui rappeler son transfert en prison, sauf cas la place d'une femme s'était un homme...
La jeune femme lui fit comprendre qu'il était sous ses ordres, de manière catégorique, elle était très jolie, mais jouer les chefs ne lui allait pas du tout enfin elle n'y pouvait rien... Il suivrait ces ordres bien-sûr, mais qu'elle face attention à la manière dont elle lui donnerait...

Chef ou non, il n'aimait pas qu'on le traite comme un chien, en prison on a pas réussit à lui faire baisser les yeux ce n'est pas ici que cela arrivera...

Il devrait s'adapter à leur langue, il la connaissait, mais très peu, il ne le parlait pas courament, il faudrait qu'il se remette dans le bain, car il n'aimait pas lorsqu'il ne comprenait pas...

Il monta dans la voiture, là ou on lui avait indiquer... Son regard froid se posa sur l'ensemble des personnes présentent, il resta silencieux... Et il ne se gêna pas pour se mettre à son aise.... Il avait hate de prendre une bonne douche, il prendrait une douche ? Quant à ses vêtements, il se moquait bien de son look, son argent lui avait servit pour une arme en priorité, les vêtements s'était secondaire, maintenant si elle n'était pas contente, elle n'avait cas lui en acheter, ils devaient bien avoir quelques billets pour l'habiller...

36 ambiance

Une camionnette de fleuriste s’arrête sur le parking de l’hôpital, la conductrice descend du véhicule … et ouvre les portes … Elle disparaît et réapparaît avec une composition floral … Les portes se referment … La livreuse, caquette de l’entreprise floral vicée sur la tête … Les cheveux auburn rassemblés en queue de cheval.. Son regard est caché derrière des lunettes noires….

Elle traverse la place qui sépare le parking de l’hôpital d’un pas décidé … Le soleil est haut dans le ciel inondant l’endroit de sa lumière … Le vent marin fait flotter l’air iodée …

Dans le hall d’entrée, les patients en robe de chambre, les visiteurs côtoient les employers de l’hôpital.. Médecin, interne, infirmière entre autre … La livreuse se dirige vers l’accueil …. Lyn la réceptionniste lève la tête de son comptoir …

Bonjour, je dois livrer ces fleurs à Cynthia Twist … avec un accent russe

La receptionniste reconnaître pose son index manucuré et vernie de rose nacré sur la liste des patients renouvelé tout les jour… Puis triomphante trouve ce qu’elle cherche …

Chambre 114 services orthopédie …

La livreuse la remercie d’un signe de tête … et se dirige vers les ascenseurs … Son visage est en partie caché par la composition florale … Rose et orchidée se mêlent … Les portes s’ouvrent …. Elle s’engouffre a l’intérieur … Elle n’est pas seule.. Un couple d’internes parle de leur prochaine sortit ciné … Un personne âgée tente de tenir debout agrippé a son déambulateur … Une mère est son enfant … Les portes s’ouvre de nouveau sur l’un des étages … La personnes âgée excuse auprès des internes pour qu’elle sorte…. Ils sortent pour lui laisser la place de circuler … L’enfant regarde la livreuse, un lueur curieuse parcourt sa regard … Elle lui décroche un sourire …. Auquel l’enfant répond gaiement … Les portes de l’ascenseur se referme après avoir prit de nouvelle personne … un médecin et une infirmière qui se met a discuté au sujet d’un patient….

La porte s’ouvre sur le 3 eme étages …. Service d’orthopédie … Elle s’extirpe sans difficulté de la cabine…. Ses pas leste et déterminé la porte vers la chambre désirée.. Sa respiration est lente et mesurée …. Elle croise des infirmières qui la saluent.. Elle fait de même.. Son regard observe les alentours ….

La porte de chambre 114 s’ouvre … une infirmière sort de la chambre avec un petit chariot …. La jeune femme ralentit le pas … attend que l’infirmière s’éloigne …. Elle ouvre la porte avec le coude … lève les fleurs devant son visage …

Mademoiselle Twist …

Oui dit une voix faible …

Ou doit je mettre les fleurs ….roulant les "r" a la russe

La patiente alitée au lit, le bras et els jambes dans le plâtre … Lui indique une table …. D’un geste faible de son bras non plâtre … La livreuse lui tourne un instant … Suffisant pour enfiler gant en latex et sortir une seringue pre-remplie … Elle attrape une serviette de toilette … La patiente semble somnolée.. Abrutie par les calmant ….

La livreuse se retourne brusquement et d’un geste rapide place la serviette sur la bouche de la patiente … Surprise prend conscience et tente de se débattre.. Mais inutile quant on est a moitié plâtre … Elle sent la morsure de l’aiguille qui se plante dans la jugulaire … Le liquide se dissipe dans son flux sanguin …. Ses muscles ne lui réponde plus … Son regard croise celui de son bourreau …. Froid , sans émotion ….

La fausse livreuse éteint les alarmes des scopes …. Coupe le relais …. Le pouls de la patiente s’emballe …. Jusqu’au tracée plat … Une dernière respiration …. Puis plus rien …. La tueuse plis soigneusement la serviette et la replace ou elle l’a prise … ReCapuchonne la seringue qu’elle remet dans sa poche … Jette un dernier regard a sa victime ….

La tueuse professionnelle enlève ses gants qu’elle met dans ses poches et sort de la chambre.. Son visage est serein … juste un nouveau contrat d’exécuté …. Elle n’apprécie que le plaisir du travail bien fait …. Elle se fond dans la masse de l’hôpital …

Le Basilic vient d’ajouter un nouveau nom à une liste déjà longue ….