Heaven Island
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 Centre d'enfouissement technique

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Le Conteur
Heaven's God
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Le Conteur


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MessageSujet: Centre d'enfouissement technique   Centre d'enfouissement technique Icon_minitimeMar 12 Juin - 8:26

Zone de décharge municipale. Incinérations des déchets et recyclage d'une partie.
En cours d'aménagement
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Luis Carranza
Hispano
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MessageSujet: Re: Centre d'enfouissement technique   Centre d'enfouissement technique Icon_minitimeLun 28 Jan - 23:08

Ambiance....

Des montagnes de dêchets... voilà à quoi se résume la décharge municipale d'Heavne... c'est tout... éventuellement quelques palmiers au loin, mais c'est tout. Officiellement, la station est encore en cours d'aménagement, mais la population alentour n'a pas attendu le feu vert de la ville pour l'utiliser.
Dans cette ambiance puante, de désolation, presque post-apocalyptique y a pas grand chose qui peut paraitre étrange sauf... sauf une ambulance conduite par deux Chicanos déguisés en infirmiers...
Et c'est une ambulance conduite par deux Chicanos déguisés en infirmiers qui grimpait les reliefs puant de plastiques, de carton, de restes de dîner, d'emballages cadeaux...

- Rah mec! Pourquoi t'es v'nu ici! Ca pue! dit Francisco en descendant de l'ambulance et en montant le col de son t-shirt sur le nez.

- C'est une décharge mec! L'odeur fait partie du concept! Et pis, on bute rarement des types ici, la police cherchera pas ici tout de suite. Et pis tu connais un meilleur endroit pour une ordure? répondit Luis en imitant son ami. Bon, on passe à la parte "interrogatoire" t'as le couteau que je t'ai demandé de prendre? contnua Luis

Francisco tira de sa ceinture un long couteau de boucher qu'il tendit à Luis. Celui-ci haussa les sourcils, surpris de voir qu'il existe des couteaux aussi long.

- Bien, trouve un récipient qui ne peu s'enflammer -un bidon, j'en sais rien moi. Et des trucs qui crament -des cartons, du papier. Tu ramène les trucs ici tu les flambent... pour la suite... Lui esquiça un sourire On va s'amuser le sourire disparu.

Francisco s'éloigna en quête du matos demandé par son pote.
Luis quant à lui, fit le tour du véhicule et entra à l'arrière, se retrouvant seul avec Luigi. Il alluma une cigarette. Luigi s'était enfin calmé, il n'avait pas arrêté de beugler comme une truie tout le trajet mais, maintenant, il était adossé à la paroi, attendant son heure. L'Italien émit un grognement en désignant le paquet de cigarette de Luis.

- Tiens mec... dit Luis en allumant une autre clope.

La main de Luis se tendit, une cigarette entre le pouce, l'index et le majeur.
La main de Luisi de tendit, main tendue, avidement.

Centre d'enfouissement technique Sanstitre1tr9

Sourire de Luis

La cigarette pivota. Le côté flamboyant s'enfonça dans la chair de la main du Rital, lui arrachant un cri. Le rital voulu dégager sa main, mais Luis la retint et enfonça plus fort la cigarette.

- Je sais mec, je sais... dit Luis Bon alors... dis moi, qu'est-ce que la mafia a comme projet chez moi, dans l Rio Santo... non, mieux, qu'est-ce que la mafia a comme projet sur cette merde flottante qu'est cette île?

- UHAIN HE HERHE!!!! HE HUI HAH HE HA HAHIA hurla Luigi, pour seule réponse.

Luis fronça les sourcils... il n'avait pas prévu que, avec une machoire en morceau, l'élocution en pend un coup.
Luis appuya à nouveau avec la cigarette. Luigi cria à nouveau... il se mit à sangloter. Luis jeta sa cigarette sur Luigi et commença à fumer l'autre.
Après quelques bouffées, Luis se leva et explora l'espace restreint de la cabine. Son regard fut attiré par quelque chose de bien préçit: un défibrillateur.

Centre d'enfouissement technique Image6zf6

Luis s'en saisi et, lorsqu'il se retourna, Luigi s'arrêta de pleurer un moment. Un masque de terreur remplaça les larmes.

- HON!!HON!! HOOOON!!

- Si, si, siii répondit Luis presque musicalement

Luis appuya sur le bouton "ON". Et regarda un peu l'étrange apareillage. Aprés, il s'approcha de Luigi. Le Macarre s'agita. Se débatti. Tenta de se lever pour fuir.

- Reste ici! cria Luis en lui assainant un coup.

Luigi ne e laissa pas faire pour autant. Il essaya de frapper Luis à la jambe... il réussit: Luis plia le genoux sous le choc... ce qui n'améliora pas son humeur: nouveau coup. Encore un. Encore un. Luigi n'était plus qu'à demi-conscient. Luis s'essuya le front, l'espace confiné de l'ambulance lui donnait chaud.
Il chercha un moyen de maintenir le rital immobile. La civière...
Luis saisit l'otage par les épaules. Et le plaça sur la civière et l'accrocha. Ainsi saucissoné, les seul muscles que le Waps pouvait bouger c'était sa langue, et il ne s'en privait pas. Il hurlait comme un goret.

- Allez mec... pourquoi tu hurles comme ça, hein? Pourquoi, te me fais ça hein? POURQUOI?!? dit Luis entre ses dents et en enlevant le pantalon du rital.

Nouveaux cris...

Luis saisit l'italien au niveau des tempes, plongeant ses yeux noirs au fond des yeux verts du rital.

- Maintenant tiu femer ta gueule! Compirs?! C'est déjà assez dur!! dit Luis, un léger tremblement dans sa voix.

Luigi se remit à pleurer.
Luis reprit le défibrillateur et s'approcha du rital qui se débatait pour se libérer.

- Hey, hermano... demanda Francisco en passant la tête par la porte de l'ambulance. ...j'ai c'que tu m'a demandé et j'ai commencé le barbec... hey! Pouquoi il a les couilles à l'air lui? Et c'est quoi ce truc? continua Francisco, allant de découverte en découverte.

- Une défibrillateur mec. Ca envoie des décharges électriques.... j'pensais l'utiliser sur ses cojones, mais apparement, ça marche pas... répondit Luis en chipotant à l'apareil.

Francisco s'alluma une cigarette.

- Hein? Nan attends, tu dois faire comme ça dit Francisco en se saisissant la machine et en chipotant à son tour

- Nan, comme ça dit Luis en reprenant le défibrillateur et en réessayant de le faire marcher.

Les deux Mexicains continuèrent à se disputer un moment. Alors que Luigi pleurait comme une fillette.
Finalement, Luis laissa tomber... au propre comme au figuré. La machine s'explosa sur le sol.

- C'est bon, on s'en fout. Va chercher la batterie de la bagnole, ça sera plus facile. dit Luis en appuyat une cigarette sur les testicules du rital.

Francisco regarda un instant les débris du défibrillateur, déçut. Puis, il acquiessa et sortit.
Aprés un petit moment, Francisco revint, la batterie dans une main...

Centre d'enfouissement technique 200px-Photo-CarBattery

...des cables dans l'autre.

Centre d'enfouissement technique Product_col

- Voila amigo... dit Luis en donnant le matos à son compañeros.

- Merci gringo, tiens, va chauffer le couteau et amène le moi quand la lame est bien rouge... dit Luis en tendant le couteau, lame en avant.

Fancisco s'en saisit et sortit.

- Bon... à nous deux maintenant... dit Luis en branchant les cables à la batterie.

Luigi s'agita encore plus, la civière manqua de se renverser. Les larmes montèrent aux yeux de Luis. Une des pinces se referma sur les burnes du rital...hurlements...les larmes coulèrent sur les joues de Luis... l'autre pince se placa juste à côté de l'autre...les hurlements se firent entendre jusqu'à Buenos Aires...les larmes roulères jusqu'aux commissures des lèvres de Luis...

- Allez mec... déconne pas... dis moi ce que fabrique la mafia... dis le moi... dit Luis pleurant presque autant que son suplicié.

Luis débrancha les pinces, attendant une réponse.

- HAIS HEN HAI HIEN HUHAIIIIIN!!!!! hurla Luigi, plus fort que jamais.

Luis allait rebrancher le rital, mais Francisco débarqua, le manche du couteau rouge feu enveloppé dans un mouchoir, pour e préserver de la chaleu.

- C'est bon mec... c'est rouge.

Luis sêcha ses larmes et prit le couteau. Francisco se plaça derrière lui, en spectateur. Luis plaça le couteau lame vers le bas, juste au-dessus du nombril du Rital.

- Francisco, mon ami, ça va sentir l'aïoli dans pas longtemps. dit Luis, un sourire aux lèvres qui ne convaint personne.

Luigi hurla, se débatti comme un dingue... mais la lame entama sa descente... lentement... doucement... aprés un long moment, la lame touche la peau du ventre musclé de rital.

Le cri était horrible...
Le bruit de la lame s'enfonçant dans la chair encore pire...
Mais le pire, le pire, c'était l'odeur...

Les deux chicanos détournèrent le visage. Mais Luis continua son...boulot. La lame continua son cheminement dans le corps du rital...lentement...
Alors que la lame était enfoncé d'un bon centimètre, Luigi recommença à parler... à hurler pour être exacte.

- HAHEHEEEZ!!! HAHEHEEEEEZ!!!!

La lame s'arrêta, tourna un peu... douleur... cri... odeur...

- Si tu veux que je m'arrête, dis moi ce que fabriques la mafia dans le Rio Santo! DIS-MOI POURQUOI VOUS AVEZ BUTEZ LA MEUF DE CARLOS!!!?!!!

- HEIN? HEIN? HE HOI HU HARLES?!?!? HON HA HIEN HAI!!!! HES HA HOUS!!! hurla Luigi.

Luis retira la lame... les deux Latinos se regardèrent...

- Attends... attends... on comprends pas... tu... vous... la Mafia... as pas buté la meuf de Carlos?

Luigi secoua la tête, confirmant la supposition de Luis...

...silence...

- Putain... lacha Luis entre ses dents.

Il laissa tomber sa cigarette sur le torse de Luigi et en alluma une autre.

- Mais c'est qui alors? Hein? demanda Luis, raprochant la lame de l'entaille encore saignante sur le ventre de Luigi.

- HEN HAI HIEN!!! HEN HAI HIEN!!! HAIHHEZ HOI HOHIRRR!!!

- Nan mec... nan... désolé... dis Luis...

Le couteau recommença à s'enfoncer entre les abdominaux de Luigi. L'odeur s'intensifia... la lame s'efonçait... l'odeur s'intensifiait... les cris aussi... la douleur aussi... mais les chicanos ne percevait que l'odeur... insuportable... l'odeur... les cris...
Luis craqua en premier: il sortit en courant et vomi sur les ordures.
Luigi continuait à hurler.
Francisco sortit juste aprés, vomi à son tour.

- Rah merde... mec... on fait quoi maintenant? Moi j'retourna pas à l'inérieur! dit Francisco avec, comme fond sonore, un mix entre les cris de Luigi et les cris des mouettes.

- Moi non plus amigo, moi non plus, hors de question!.. répondit Luis en crachant. On a qu'à foutre le feu à la caisse et on se barre...

Francisco acquiessa. Les deux amis se dirigèrent vers le barbecue qu'avait créé à la va-vite Francisco. Luis saisit un morceau de carton et l'enflamma. Francisco saisit le bidon, ouvrit la porte et le lança à l'intérieur. Il referma vite la porte afin d'éviter d'entendre les cris et les suplications de Luigi. Luis lança son carton dans le moteur de l'ambulance.
Les deux Latinos s'enfuirent en courant, évitant tant bien que mal de tomber dans les débris.
L'ambulance explosa lorsque Luis et Francisco furent à plus de 100 mètres.
Ils en profitèrent pour souffler un peu.

- Putain... commença Francisco ...quelle journée d'merde... allez Hermano, on rentre au quartier. Ils vont nous accueillir comme des dieux avec les nouvelles qu'on leur apporte!

Luis frappa son ami dans le dos et les deux comparses s'éloignèrent vers le soleil couchant, une ambulance dégageant une fummée bien noire...
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