Identité :
* Prénom et nom : Nadezhda Aleksandrova
* Surnom : Nadia
* Date de naissance : 31 mai 1990
* Sexe : féminin
* Pays d'origine : russe
* Occupations, métier : étudiante
* Situation de votre demeure: sur le campus universitaire.
Comportement :
* Qualités : Nadia est d'une gentillesse incalculable. Toujours pleine de bons sentiments, au service de ceux qui ont besoin d'aide, elle est l'incarnation de la douceur. Eternelle rêveuse, elle aime à penser qu'elle est ce qu'on appelle une « maitresse de maison accomplie ». Danseuse émérite, elle tient ça de sa mère.
Elle adore étudier. D'ailleurs, elle espère bien commencer des études à Heaven. Peut être de littérature ou peut être la musique... non dans l'humanitaire. Enfin elle verra bien.
Elle est une excellente musicienne. Elle joue à la perfection du piano et du violon.
* Défauts : elle est une tête de linotte. Elle oublie toujours tout. De ses clefs à sa liste de courses en passant par l'endroit où elle gare sa voiture. Sa mémoire est une vraie passoire. Elle a une forte tendance à se disperser. Elle veut faire milles choses à la fois.
Son défaut principal est sans doute une profonde mélancolie depuis la mort de sa mère. Elle aimerait avoir sa vie. Elle a les larmes faciles et l'émotion débordante.
* Ce qu'il/elle aime : les comédies romantiques. Une véritable passion pour elle. Tout ce qui se finit bien de manière plus générale. Elle aime la musique, surtout classique, celle qui lui rappelle sa mère.
Elle adore la nature, et paradoxalement les grandes villes. Elle s'émerveille facilement devant les choses. Elle aime la simplicité, à tel point que peu savent combien elle est riche.
Sa seule exentricité est un cadeau fait par son père pour sa majorité. Une voiture qui arrivera bientôt sur Heaven.
* Ce qu'il/elle déteste : elle déteste les histoires qui finissent mal. Elle déteste aussi la violence et tous les mauvais sentiments. Incapable de comprendre la méchanceté dans le monde, elle cherche refuge dans les livres. Elle a horreur de l'impolitesse et de la mauvaise éducation, surtout celle des russes. Ayant grandie assez isolée de la majorité des gens de son pays, elle ne comprend pas grand chose à la mentalité de ses concitoyens.
* Signe particulier : aucun
Histoire :
ambiance Nadezhda est une véritable poupée russe. En plus de son teint si blanc et son air si précieux, ses grands yeux noirs, elle a eu une de ces enfances qu'on envie toujours.
Parents riches dans une Russie post communiste où quelqu'uns parvenaient à faire fortune, elle n'a jamais été privée de rien.
Enfance idyllique. Petite fille qui possède tout. L'amour de parents dévoués à leur fille unique, éducation bourgeoise et vie faite de voyages et de plaisirs. Elle parle d'ailleurs plusieurs langues parfaitement au point qu'on peut se demander laquelle est vraiment sa langue maternelle.
Nadia est la fille d'un magnat Russe. Si on lui demande ce qu'il fait pourtant, elle sera bien incapable de répondre. Il ne parle jamais de son travail et Nadezhda s'en contrefiche un peu. Le travail n'est qu'un moyen d'occuper ses journées pour cette petite poupée riche à souhait.
Sa mère était une danseuse étoile. Elle était à l'apogée de sa gloire quand elle rencontra Alexei Alexandrov. Si elle a raconté à Nadia que ce fut le coup de foudre, l'adolescente apprit par la suite que c'était loin d'être la vérité.
Alexei lui a fait une cours assidue alors qu'elle était déjà fiancée. Elle n'a cédé que lorsque ce dernier a disparu, lors d'une des dernières rafles communistes. Elle s'est consolée dans les bras d'un homme sombre et mystérieux mais fou d'amour pour elle.
Karolina Alexandrova, à la suite de son mariage, a eu le loisir de mener ses passions de front. Eduquer sa petite fille, la seule qu'elle pourrait jamais avoir. Et son gout pour la musique. Elle l'a d'ailleurs transmit à Nadia en la mettant depuis toute petite devant un piano puis une violon.
Nadezhda a grandi entourée de l'amour de sa mère. Amour absolu et presque exclusif. Karolina s'est fait un devoir que sa fille ne manque de rien. Ni bijoux, ni vêtements, ni éducation. Elle avait ce qui ferait d'elle la perfection. Et la petite fille, puis l'adolescente, d'un tempérament calme, posé et doux, s'en accomodait parfaitement.
Le moindre signe de tristesse sur les yeux de sa mère était toujours une torture infligée à la douce Nadia. Très vite ses parents ont compris que son tempérament ne lui permettrait pas de supporter les malheurs de la vie. Le deuil, la souffrance... ils devaient l'en protéger autant qu'ils pouvaient.
Il y a deux ans, sa mère se fait tuer dans un attentat à Jerusalem. Nadia, désormais seule, est perdue. Ses rapports avec son père, certes aimant mais toujours aussi mystérieux et étrange, restent superficiels. C'est une vieille tante qui est chargée de s'occuper de Nadezhda jusqu'à sa majorité. Pendant deux ans, la jeune femme va subir le culte de Staline et voir une facette de son pays qu'elle aurait préféré ne jamais connaître.
Dès son bac en poche, Nadia lève les voiles. Adieu la Russie et son système qui périclite. Elle va là où sa mère lui avait promis de l'emmener vivre. Aux Etats Unis.
Elle prend donc ses affaires, et prend le premier avion en partance. Ce sera Heaven Island.
HRP :
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