http://www.radioblogclub.fr/open/141383/beep/Pussy%20cat%20dolls%20ft%20william%20-%20BeepUne des caches d’Alyssa, se trouve ici. On y accède par un moyen possible. Le sous sol. Et quelques épreuves physiques bloque le passage ou il y a bien un chemin moins dangereux mais.... Et cet abri, ne contient pas de trésors de ses rapines…
Alyssa avait passé la fin de la journée a interrogé son majordome, et n’avait rien pu en tirer. Elle avait vainement cherché des indices dans la ruelle où il avait disparut. Rien.
La voleuse était certes déçue de n’avoir rien trouvé, mais ce n’était pas la première fois. Elle se préparait donc à sortir ce soir. Elle mit les sous-vêtements achetés cet aprèm midi. Et finit de s’habiller.
Alyssa s’interrogeait sur le lieu de sa sortie ce soir.
-hum, ou vais-je aller me divertir se soir ? Peut être le Fever ? La plage des surfeurs j’en garde un bon souvenir…Ha mais cela fait longtemps que je n’ai pas vu Ethan. J’espère qu’il va bien. -et on peut savoir qui est Ethan ? Le cœur de la voleuse cogna dans sa poitrine, cette voix c’était lui. Alyssa s’exhorta au calme et au contrôle de soi.
-non, tu ne peux pas savoir. -et pourquoi ? -tu n’as plus aucuns regards sur ma vie privée…depuis ce jour ou tu m’as laissé tombée. Bien il fallait continuer ainsi et marquer des points.
-peut être mais écoute ton corps plutôt que ton ego. Regarde comment au moindre effleurement il se tend vers moi. Le corps d’Alyssa s’embrassa au contact de sa peau. Mais si savoureux qu’était le contact il n’en était pas moins dangereux, pour elle.
-tu n’as plus rien aucun droit sur mon corps, car si il réagit comme ça ne n’est qu’instinct primaire, tu n’y es absolument pour rien !Lui se mit à rire. Puis retrouva son sérieux, et lui chuchota a l’oreille.
-tu te mens a toi-même mon chaton, aucune de tes conquêtes ne sait te faire ronronner comme moi-même. Alyssa excédé se retourna pour le gifler. Mais Lui la connaissant, c’était reculé d’un pas, et lui saisi le poignet. Sans douleur mais fermement. Il la fixait de ses yeux rieurs. Ceux-là même dans lequel la voleuse s’y perdrait. Il avait toujours son masque, sa cagoule…celle là même qui l’empêchait de le retrouver, de voir son visage…mais qui pimentait leur relation.
Alyssa se libéra de son emprise et l’invita à s’installer dans un fauteuil. Ce fauteuil qui serait peut être sa porte de sortie. La sauve garde de sa conscience…
Ils commencèrent, a discuter mais Lui insinuait constamment des sous entendus, ou lui envoyait des piques. Alyssa garda son calme mais arrivé à un moment où elle eu envie de le faire taire et lui sauta dessus pour le bâillonna. Il en profita pour verrouiller ses bras derrière son dos.
Alyssa tenta de se défaire de son emprise avant qu’elle ne lui cède, mais les jeux étaient courus d’avance.
Lui embrassa le cou de la petite voleuse, lui murmurant des paroles d’amour en français. Ses mains remontaient sous le haut dont il se débarrassa bien vite.
-j’avais raison, ils te vont à merveille…-je te jure que tu vas…Il la bâillonna d’un baiser fougueux. Et laissant ses mains explorer à nouveau, leur terrain de jeux.
Lui la remit sur ses pieds pour l’admirer et en profita pour se retrouver nu a son tour. Il maintient les mains d’Alyssa dans son dos exposant ainsi sa poitrine, comme deux fruits murs offert en offrande. Il déposa ses lèvres sur les bourgeons qui pointaient sous l’étoffe qu’il s’empressa de retirer, faisant gémir la voleuse qui sentait ses jambes la trahir.
Il mit la jambe d’Alyssa autour de sa taille, et la maintient contre le mur où commencèrent leurs ébats. Puis Lui se dirigea vers le lit. Alyssa s’installa sur Lui. Pour contrôler, pour le contrôler. Il la fit rapidement passé sous lui, la voleuse planta ses ongles dans la peau de son amant, laissant des trainés sur sa peau.
-je vois que tu griffes toujours autant mon chaton. -je vois que tu es toujours aussi bavard, tu vas continuer longtemps à palabrer ou tu compte passer a l’action, j’ai peur de m’endormir on ne sait jamais. -toujours aussi insolente. Il ponctua sa phrase d’un coup de rein, et mena leurs corps dans une activité physique épuisante.
Alyssa se sentant épuiser, vidé. Elle s’endormie heureuse dans ses bras.
Au petit jour, les draps étaient vides…elle savait qu’il ne restait jamais. Alyssa passa sous la douche, et souriant de se sentir aussi moulu à certain endroit, sa nuit n’avait pas été un rêve.